Ce Brexit « dur », c'était une des hypothèses qui couraient mais beaucoup estimaient que le Royaume-Uni tenterait de trouver une voie médiane. Cette procédure de « divorce » implique en effet un retrait du marché unique, de l'union douanière européenne et de la Cour de justice européenne. Bref, il n'y aurait pas grand chose à négocier pour rattacher encore un peu le pays au continent.
C'est notamment la crainte des entreprises qui font commerce avec le reste de l'Union européenne. En posant de telles conditions, Theresa May s'interdit pratiquement un accès sous quelque forme que ce soit avec le marché unique. L'objectif pour le gouvernement britannique, tout comme pour les partisans les plus durs du Brexit, est de retrouver la pleine souveraineté du pays et la maîtrise de ses frontières. Au risque de se couper définitivement de tout un continent…
Theresa May entendrait également activer l'article 50 du traité de Lisbonne fin mars, une action qui lancera les négociations à proprement parler avec Bruxelles. Celles-ci dureront deux ans. Toutefois, la Première ministre pourrait rencontrer un écueil si, fin janvier, la Cour suprême du pays devait statuer qu'un vote du Parlement est indispensable.
C'est notamment la crainte des entreprises qui font commerce avec le reste de l'Union européenne. En posant de telles conditions, Theresa May s'interdit pratiquement un accès sous quelque forme que ce soit avec le marché unique. L'objectif pour le gouvernement britannique, tout comme pour les partisans les plus durs du Brexit, est de retrouver la pleine souveraineté du pays et la maîtrise de ses frontières. Au risque de se couper définitivement de tout un continent…
Theresa May entendrait également activer l'article 50 du traité de Lisbonne fin mars, une action qui lancera les négociations à proprement parler avec Bruxelles. Celles-ci dureront deux ans. Toutefois, la Première ministre pourrait rencontrer un écueil si, fin janvier, la Cour suprême du pays devait statuer qu'un vote du Parlement est indispensable.